Un lundi deux séries

Je ne travaillais pas hier. Il a au moins fallu ça pour me remettre du réveillon... si Marge n'avait pas du se lever pour aller bosser, elle, dès 6h00 du matin. Je fus donc levé et réveillé avec elle, puisque je l'accompagne à la gare. Je commence l'année fatigué. Pour changer. Mais je n'ai pas perdu mon temps, du moins, pas au sens où j'aurais dû l'occuper constructivement, mais j'ai préféré mater des séries pour « rattraper mon retard ». Parce que si je suis une bible des séries au travail, je suis loin de la perfection...

J'ai toussé. Oui, je commence l'année comme je l'ai finie, un peu malade. Puis, je me suis fait un petit café, installé confortablement devant mon écran, éteint la lumière et lancé la série qui est dite être la révélation de l'année outre-Manche: Downtown Abbey. Ça raconte l'histoire d'une famille aristocrate anglaise qui apprend le naufrage du Titanic. Cela aura un impact direct sur l'héritage de leur résidence, Downtown, un château dans la plus pure tradition britannique. Ce qui permet de visualiser les intrigues de la demeure à la fois du point de vue du propriétaire, mais aussi et surtout, de celui des domestiques. Je n'ai vu qu'un épisode, c'est très esthétique. Pour le reste, wait and see.

Mais si je n'ai vu qu'un épisode, c'est parce qu'ensuite, j'ai dévoré une série culte: Life On Mars, version UK, of course. J'ai enchainé les épisodes de cette série de 2003, où un inspecteur de police, victime d'un accident, se réveille en 1973 ! Est-il dans le coma, rêve t-il, devient-il fou ou alors a t-il remonté le temps? Au fil des enquêtes qu'il mène ,des indices sont disséminés sur la vérité. Un bond en arrière extraordinaire, prenant, so british et excellemment interprété. A voir !

Entre deux épisodes et deux matches de Fifa 12 (je m'entraine pour mettre une branlée à Falconhill), j'ai quand même préparé la tambouille. Marge a de la chance d'avoir un chef trois étoiles comme moi à la maison, capable de transformer une boite de raviolis en plat de restaurant. Le talent, ça s'explique pas.